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Pas de poils ? pas de chocolat ! 29 juillet, 2007

Posté par fdesbordes dans : sea sex and sun , 5 commentaires

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Ola amis bloggueurs ! Bon OK, je suis au courant, le titre ne veut absolument rien dire surtout avec ce qui va suivre mais bon, un peu d’indulgence, je suis en vacances (on ne pas peut rimer en beauté à tous les coups).

Pendant que j’y suis, je fais un gros bisous au « maverick’s blog » bordelais, pour son e-mail très sympa auquel je n’ai toujours pas répondu (c’est tout moi). Mais promis, j’ecris cette semaine.

Bref, ceci n’est pas le sujet de ce post. Je tiens publiquement à faire part d’une erreur que j’ai commise : mon blog aurait plutôt du s’appeler « le blog sentimental foireux » à la place de « blog amoureux ». Car les chéris, au rythme où ça va, je vais bientôt finir carmélite. Il existe une légende urbaine qui dit que « moins les femmes le font moins elles y pensent ». N’en croyez rien ! c’est archi-faux ! Mais… comme je préfère la qualité à la quantité et que j’ai la fâcheuse habitude d’être une grande amoureuse, je pense que je vais encore dormir pendant un bout de temps avec ma zapette téléphage.

Voilà c’est tout moi. Je donnerai ma chemise au gens que j’aime et à côté de ça mon petit coeur commence à bouffer les pissenlits par la racine. Métaphore extrême qui résume cela : « f*** – you %£¤@##, où es-tu femme ??? ».

Mais… L’avantage à être une célibataire c’est que l’on peut s’empiffrer de chocolat (noir 70% miam) et laisser pousser un joli jardin de poils sur tout son corps. Et là, ce n’est plus « belle hirondelle » mais « oh le yeti ! ».

Alors vous savez ce qu’on dit: « pas de poils ? pas de chocolats! ».

 

WAGABONGAA , héros ordinaire 28 juillet, 2007

Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , ajouter un commentaire

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oups, le capitalisme tremble 27 juillet, 2007

Posté par fdesbordes dans : Non classé , ajouter un commentaire

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Je tiens à signaler aux amis bloggueurs que ce poste n’a rien à voir avec un blog amoureux.

N’empêche après un super week-end la semaine dernière et mes vacances du moment à la campagne je ne suis pas trop l’actualité.

Et là, horreur, dans la petite lucarne je vois le cours du CAC qui baisse… qui baisse… C’est vrai que depuis la première correction en début d’année, le marché reste très volatile. Allez Hop, illico sur le net, je liquide mes positions. OUF. Je retourne à mes vacances.

Dans la peau d’une blonde – Episode 4 25 juillet, 2007

Posté par fdesbordes dans : dans la peau d'une blonde , 4 commentaires

COME ON TO THE PLAYA !!

 

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Week end boulot / détente. On fignole le DVD plus la soirée du 28 septembre.

Et puis on décide d’aller à la plage entre deux nuages noirs. J’en profite pour sortir ma panoplie de blonde.

Bikini + short de surf + lunettes noirs = la blonde’s surfermen, vous savez celle qui se pâme devant son beau surfer qui est en train de faire des tubes dans l’eau froide pendant qu’elle, fait des tubes avec sa serviettes (le fameux tourné/retourné).

La plage regorge de blondes, l’endroit idéal en été pour tester son potentiel blond. Je prend exemple sur un petit groupe à 10m sud/sud ouest de ma serviette. Je me la joue star du sable, alternant séance de raquettes de plage pour montrer mon ravissant décolleté et séances de bronzage intensif.

Au bout d’une heure, le soleil qui se montrait jusque là plutôt timide, commence à taper sérieusement sur mes petits seins blancs de brune peu habituée aux UVs. Je vais me rafraichir dans l’eau. Comme je suis fière d’être blonde, je redresse mes épaules et d’une démarche que j’imagine chaloupée (disons… plutôt une vache laitière dans un sable mouvant) je file dans les rouleaux.

hum… l’eau fraîche est délicieuse sur mon corps tout chaud. Je m’étale sur la serviette encore mouillée et bien sûr je met de la crème indice 15 (autant dire rien du tout). je jette un coup d’oeil de travers à au bon polar qui m’attend dans le sac. Non. Une blonde ne lit pas à la plage, elle bronze.

Pffff… bon, au bout de quatre heures, le soleil a ruiné mon potentiel de séduction pour le restant de l’été. J’ ai eu, je ne sais pas pourquoi, l’idée saugrenue de garder mes lunettes de stars (comme Isabelle Adjani) toute l’après-midi.

Résultat en rentrant avec les copines à la maison: J’ai un bronzage qui tire plutôt sur le rouge vermillon, les traces de mes lunettes tendance ski, et la marque de mon short de bain (torse rouge vif et cuisses toutes blanches).

Faire sa blonde à la plage demande beaucoup de courage (sable qui rentre dans la culotte, UVs qui crâment la peau, inactivité qui ralentit le ciboulo) et de ténacité pour avoir un bronzage hawaien. Chapeau les filles !

Envie de rêver 20 juillet, 2007

Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , 2 commentaires

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Après plusieurs mois de remise en question, je me reprend à rêver les yeux grands ouverts. Rêver de grandes et de belles choses. Je me sens de nouveau pousser des ailes. Et je me dit qu’après tout, tout est possible. Que le cours des choses n’est pas immuable. Je ne suis après tout, peut-être pas si infréquentable et insupportable que ça.

Mademoiselle est toujours là et notre amitié profonde se renforce de jours en jours. Miss X est toujours là et ne m’oublie pas.  Avec de la patience mon coeur cassé se reconstruit avec l’appui d’une poignée d’amis. je ne suis finalement peut-être pas exclusivement abonnée aux amours impossibles. Je suis prête à vibrer, à trembler, à aimer… Et j’ai de nouveau confiance en cet avenir qui augure, maintenant j’en suis sûre, une nouvelle lumière ;) .

Attention Supergirl est de retour !

 

Champignon atomique ! 19 juillet, 2007

Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles,vie quotidienne des romans , ajouter un commentaire

Oui, je le reconnais, j’ai eu une grosse panne de rêve ces jours-ci. Trop de boulot, le chien qui mange mes sandales toutes neuves, une grosse amende de 90€ pour avoir grillé un feu orange en scooter, trop de responsabilités et me voici transformée en champignon atomique. Un peu plus et Bordeaux était rayé de la carte… Bien sûr c’est une métaphore, mais mon énervement a atteint son point culminant mardi soir.

En effet, réunion improbable sur msn avec le staff pour le bouquin. Voilà à peu près ce que ça pouvait donner:

 » big boss (S Mon éditeur): Les livres sont arrivés. Tout va bien.

sblorf (T, directeur commercial): bien, on va pouvoir communiquer. Frédouille (moi), tu en es où avec le DVD ?

Frédouille (moi) c’est en cours, BonoBö a fini les 6 titres mp3.

Grenouille magique (M.C) J’ai refait le générique du film. On va maintenant faire l’autre film.

Frédouille : Ah oui, c’est vrai, j’avais oublié celui-là.

Big boss : Et l’interface graphique du DVD ?

Sblorf: On a un probleme, Houston.

Frédouille: Ah Bon ?

Sblorf: Personne de compétent dans l’équipe pour le faire, trop de temps perdu déjà. Frédouille, tu peux t’en occuper ?

Frédouille: Ben je m’occupe déjà de ma soirée sur mon temps libre alors…

Big boss: Le DVD doit être impérativement pressé avant mi-août alors faites ce que vous voulez mais ce doit être fait.

Sblorf: Oui, moi je dois l’envoyer avant fin août.

Frédouille: Quoi ? vous voulez que je fasse l’interface graphique ?

Big Boss: OUI

Sblorf: Oui

Grenouille magique: OUi moi je sais pas faire. »

 

En fait d’interface graphique, il s’agit de faire un site en local lancé par un autorun, compatible sur un maximum d’ordinateurs. J’étais devant mon Msn et j’avais envie de m’éxiler au pôle nord pour pouvoir enfin prendre des vacances.

Mais aujourd’hui, tout va mieux. J’ai organisé mon temps.

Il y a des jours 17 juillet, 2007

Posté par fdesbordes dans : ecrits (quand j'ai de l'inspiration) , 5 commentaires

Il y a des jours où, quand on se réveille, on sent déjà que la journée va s’atomiser toute seule.

Il y a des jours où, le guerrier que l’on est, prend conscience qu’il se bat contre des moulins à vent.

Il y a des jours où, on ne veut pas entendre ce que l’autre essaie désespérément de nous dire.

Il y a des jours où, on ne peut pas dire ce que l’autre voudrait entendre.

Il y a des jours, certains plus que d’autres, où on s’aperçoit de l’évidence de l’absence.

Il y a des jours où on se lève, persuadé que c’est la meilleure des choses à faire, continuer à avancer, sans jamais se retourner.

Et puis il y a tous ces autres jours, juste au réveil, où l’on sait qu’on est devenu juste incapable de rêver.

Bienvenue dans la quatrième dimension 16 juillet, 2007

Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , ajouter un commentaire

Ce matin je me suis réveillée en me demandant ce que j’allais pouvoir mettre pour mon nouveau job. Avec des interlocuteurs comme le MEDEF et le gouvernement je ne pouvais décemment pas mettre un de mes vieux jeans usés jusqu’à la moëlle et mes Stan Smith originals d’Adidas. Et puis, une minute après j’ai compris que je rêvais encore… OUF… Qu’elle idée de rêver qu’on bosse sur une mission économique pour le gouvernement… Ce songe/cauchemar est peut-être dû au fait que je lis la BD « Dilbert » avec assuidité ces jours-ci…

Début de mon rêve:

Un matin, alors que je me goinfrais de tartines de miel, le téléphone sonne.

« _ Bonjour, vus êtes bien F.D ?

_ oui, c’est moi-même.

_ Vous êtes convié à un entretien cet après-midi dans les bureaux du préfet (c’est un rêve donc on peut tout se permettre).

_ Ah bon ???? Et pourquoi ??

_ Vous êtes sur la liste de notre recrutement en externe pour une mission de réflexion interministérielle (même quand je rêve, j’ai un charabia institutionnel insupportable…).

_ Heu… C’est à dire que j’ai déjà un travail, voyez-vous.

_ Enfin, mademoiselle… L’Etat connaît votre situation (là, mon rêve dérive un peu dans le style « 1984″ de Georges Orwell).

_ Mais… Pourquoi moi ???? Et pourquoi pas un cadre hautement qualifié qui sortirai de Sciences-Po ou de l’ENA ?

_ Le président souhaite être proche du peuple français (Arggghhh !! Le président est partout, même dans mes rêves). Par ailleurs, il souhaite mettre à bas l’hégémonie du haut fonctionnariat en plaçant les aptitudes au coeur du projet profesionnel… »

Bon, dans mon rêve je venais de me réveiller et j’avais du mal à suivre la conversation… Je me retrouve plus tard chez le préfet (ça tombe bien, c’est juste en face de chez moi, même dans mes rêves je ne me foule pas trop), où une délégation vient m’expliquer mon rôle dans cette mission interministérielle.

Donc grosso-modo, l’Etat recrutait 100 jeunes représentants des couches populaires/moyennes, moyenne d’âge 30 ans, pour réfléchir sur les implications, les modes de vie, les choix professionnels de nous autres, jeunes français moyens lucides et moins préoccupés par la réussite professionnelle que personnelle.

Pour ma part je devais travailler en binôme avec un jeune nerds/sociologue sur le management des « jeunes rebelles opportunistes » et leur place dans l’entreprise. Mes interlocuteurs directs étaient le cabinet de Laurence Parisot (présidente du MEDEf) et le cabinet de Christine Lagarde (notre ministre de l’économie et des finances). Rien de moins. Mais je vous l’ai dit, dans un rêve on peut tout se permettre.

Donc, on me tend une enveloppe que je décachète et je découvre ma rémunération conséquente pour ces 6 mois de boulot… Je pouvais aussi emmener mon chien partout car il y avait des crèches pour chien dans les ministères… Et j’angoissais comme une malade avec mes pauvres camarades français moyens sur le choix de ma tenue vestimentaire… Ok, là mon rêve devient n’importe quoi..

Je ne sais pas si je vais continuer à lire « Dilbert »…

 

 

Alvar, Tom, Gipsy, Hugo et (tous…) les autres 13 juillet, 2007

Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , 1 commentaire

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Je regrette amèrement d’avoir pris un chien aussi sociable et qui se fait autant de copines et de copains. Non seulement, je dois anticiper la durée de la promenade mais en plus faire la conversation avec (avouons le franchement) des vieilles dames qui ne sont plus de toute première jeunesse. Pourquoi diable, le si bel animal n’a pas, au bout de la laisse, une maitresse ou un maitre aussi canon ??

La journée était « canine » aujourd’hui.  La faute aussi à mon travail qui me permet de rester tranquillement chez moi et de promener le chien très régulièrement. Bref.

Petit tour du quartier ce matin, le chien qui joue avec un « truc » à poil long d’à peine 20cm de hauteur. je balance un bout de bois à mon charmant toutou qui le rattrappe illico et un petit bout de mon pouce avec. Je regarde. Oh c’est bizarre, y’a un trou à côté de l’ongle ??

On agrémente la promenade par un détour chez le pharmacien. Pas très rassurant le bonhomme.

« _ hum hum… faudrait peut-être un point de suture.

_ Mouais… Donnez moi déjà de quoi me désinfecter on verra plus tard. »

Et puis ce soir, je croise ma voisine, Madame machin, que mon chien adoooooooore. Et vas-y que je te saute dessus à qui mieux mieux et madame Machin qui en redemande. Et puis là, tout à coup, elle se met à pleurer.

« _ Oh pardon, mon chien vous a fait mal ?

_ Non ce n’est pas ça. Alvar (un grand lévrier afghan) est mort cette semaine.

_ oh… … désolée. Toutes mes condoléances.

_ Oui. Il avait 127 ans.

_ heu… Et en âge chien ça fait combien ?

_ 18 ans. Bouhhhhhhhhhhhhh… Je n’étais même pas là pour lui dire au revoir…. »

Mince alors. est-ce qu’on doit pleurer avec sa voisine sur la fin honorable de son chien ?

caustique sans tics 11 juillet, 2007

Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , 3 commentaires

bien après relecture, c’est … … caustique. Dédramatisons. En pleine et ultime séance de doute ( je doute toujours une fois que je ne plus revenir en arrière), Mademoiselle me fait atterrir sans ménagement:

« _ Je vais mettre un sac sur la tête jusqu’à la fin de l’année et vive 2008 !

_ (mademoiselle, par msn) MAIS personne te connaît (ah oui, ça c’est vrai dis donc) et puis ON-S’EN-FOUT !  »

Mademoiselle est toujours prête à redresser mon karma qui déraille…

 

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