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J+1 ———> Merci les amis !! 29 septembre, 2007

Posté par fdesbordes dans : vie quotidienne des romans , 3 commentaires

Pffff… Pas évident de se remettre d’une soirée comme celle-là. Aujourd’hui, scotchée au fin fond de mon lit devant « the Bourne Ultimatum » j’en viens presque à regretter la jeunesse de mes vingts ans. Plus l’habitude de pratiquer  » l’art de recevoir en toute circonstance » jusqu’à point d’heure…

Mais quelle soirée mes amis ! incroyable ! :)

comme dirait Catz c’était « émotionnellement très positif » !

Senseï / Eyphie, la photographe qui revenait le jour même de vacances dans les îles, était au rendez-vous pour accrocher ses photos; les deux fabuleux DJ qui firent une installation digne des meilleurs clubs (spots qui bougent, lumière qui se ballade sur les murs etc…) avec un son à la fois pointu et fun; des ami(e)s tous les 50 cm et un punch maison plutôt réussi.

Moi qui stressait dans mon fond de culotte depuis des mois, essayant d’esquiver les difficultées, j’étais là, à contempler ce pari devenu enfin réalité.

Par contre, une pratique avec laquelle je reste perplexe : les dédicaces. Comment trouver en 2 minutes un truc pas trop c** à écrire, voire un peu inspiré et sans faute ?

petites confidences à J-3… 25 septembre, 2007

Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles,vie quotidienne des romans , 3 commentaires

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Je dois vous avouer, amis bloggueurs, que l’approche de la date fatidique, ce fameux 28 septembre, m’angoisse. Ce n’est pas tant l’idée que le roman tombe entre les mains des lecteurs, non car je sais d’avance que certains aimeront, d’autres non. C’est plus l’idée du vide de l’après.

J’ai tellement travaillé tous ces mois, avec les corrections, la conception du DVD et l’organisation de cette fameuse soirée…

Et puis plusieurs personnes se sont investies dans ce projet, ont cru en moi. A. qui s’est occupée de toute la conception graphique de jour comme de nuit, dimanches compris; F. et D. qui ont proposé leurs services; Medemoiselle et ses encouragements, son écoute, ses propos rassurants même lorsque j’étais bourrée de scrupules; mes proches qui s’investissent complètement et puis T., M.C et le groupe…

J’aimerais pouvoir les remercier de toutes ces attentions et surtout ne pas les décevoir.

Voilà ce qui me fait le plus peur, de ne pas être à la hauteur.

fracturage domestique 24 septembre, 2007

Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , ajouter un commentaire

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La nouvelle du jour : je ne deviendrai jamais une cambrioleuse !

Ce matin, je sors tranquillement chercher le courrier dans mon immeuble et patatrac, un courant d’air et la porte se referme ! la mauvaise nouvelle c’est que ma porte ne s’ouvre que de l’intérieur à moins d’avoir les clés et, évidemment, je ne les ai pas sur moi.

Je dois vous avouer que je vis dangereusement. tous les jours, quand je vais chercher mon courrier j’oublie mes clés et je laisse la porte ouverte. Je dois sans doute aimer le gout du risque… Sauf qu’aujourd’hui, je suis vraiment enfermée dehors !

Je frappe chez madame L, une charmante vieille dame avec qui j’ai mis 5 ans à établir des rapports de voisinage, et lui demande plusieurs tournevis et un marteau pour ouvrir.

C’est dans ces moments là que je me demande pourquoi je ne me suis pas inscrit dans un club de bricoleurs car les serrures et moi, ça fait deux.

Pendant 3/4 d’heure j’essaie de fracturer ma porte, à courp de marteau, de tournevis, je finit par me jeter dessus comme dans les films, mais bien sûr ça ne marche pas. Je ruisselle, et commence sérieusement à m’exaspérer quand madame L arrive  tranquillement  pour voir où en est ce fracturage domestique…

« ah…. Il faudrait quelque chose pour remplacer la poignée. Quelque chose qui face tourner la serrure…

_ Ah bon ? Une serrure ça se tourne ? (de temps en temps je me dis que je suis vraiment blonde)

_ Bien sûr. »

Mais comment n’y avais-je pas pensé plus tôt ??!! Moi qui appuyais les tournevis dans la serrure en vain, espérant faire bouger un truc !

Illico, j’enfonce le plus gros tournevis, je tourne et alléluia, comme Ali Baba et les 40 voleurs, la porte s’ouvre…

J’adore mes voisins…

Ahhhhhh … le romantisme #2 23 septembre, 2007

Posté par fdesbordes dans : rayon humour , ajouter un commentaire

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Ahhhh … le romantisme #1

Posté par fdesbordes dans : rayon humour , ajouter un commentaire

http://www.dailymotion.com/video/18h3m5nMvxR2o3KDn

Hollywood chewing gum 22 septembre, 2007

Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , 6 commentaires

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Hier soir, une dame m’a donné son numéro de téléphone. Je ne peux pas dire une fille car passé un certain âge on appelle ça une dame. non, non pas la peine de se réjouir les blogonautes car la dame en question machait son chewing gum la bouche de travers et ouverte avec une telle assiduité que je me demandais combien de moucherons et autre insectes volants avaient déjà atterri sur son hollywood. Et pour moi, mâcher un chewing gum la bouche ouverte à 10 cm de ma vue est quelque chose de totalement rédhibitoire.

Retour arrière.

Hier soir donc, je suis allé posé des flyers toute seule, comme une grande dans un endroit fréquenté exclusivement par la gente féminine. Match de rugby oblige, il n’y avait personne. Je me dis « allez, je vais boire une petit verre de vin tranquille en écrivant ma prochaine chronique pour le blog ».

L’endroit est chaleureux quoique l’on pourrait qualifier la musique de… folklorique. Je m’installe au bout du comptoir, commande un verre, sort mon calepin et commence à gribouiller quelques notes tout en zieutant la porte. Je n’ai absolument pas envie de croiser V2 ou une autre vague connaissance.

Un quart d’heure plus tard, le match est fini les filles arrivent en masse et je commence à remballer  mes affaires. Mais pas de bol, miss Hollywood débarque et me branche tant bien que mal. Je trouve ça tellement pathétique que le seul moyen de m’en sortir c’est d’accepter son numéro de téléphone.

Aujourd’hui le numéro de téléphone est parti sans remord à la poubelle et je me dis en souriant que je ne suis vraiment pas pressée de me caser.

Petite phrase amoureuse 9 19 septembre, 2007

Posté par fdesbordes dans : petites phrases amoureuses , 2 commentaires

 » tout était si beau, si léger, si parfait, je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis levé, et j’ai esquissé un pas de danse. »

Nietzsche – extrait d’une lettre à son ami Paul Rée

Natalieeeeeeeeeeeeeeeeee !!! 17 septembre, 2007

Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , 7 commentaires

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Vive discussion l’autre jour entre copines. Pendant que les hommes buvaient leur bière sur le canap devant un match de rugby ( « putaiiiiiiiiiiiinnnnnnnnnn !! Chaballlll !!! mais joue, là, bordellll !! « ) , nous bavardions autour d’un verre de vin, sur la beauté de quelques chanteuses :

« _ Vous l’avez vu Rhianna dans son clip ? Elle est vraiment belle !

_ Hein ? c’est qui ça ?

_ Ben une fille qui chante du R’N'B. Attends, tape là dans google et regarde des photos tu vas voir.

(je tape Rihanna sur google et je tombe sur une black genre Beyoncé)

_ Mouais… Bof…

_ quoi ? tu la trouves pas belle ?

_ Mouai…

_ Attends elle est super sexy non ?

_ Moi j’préfère Shakira (ça c’est mademoiselle qui voue un culte au corps de Shakira… :) )

_ Oh ! Et vous avez vu la tête de Amy Whinehouse ?

_ Heu… c’est qui ?

_ Mais tu sais bien c’est la chanteuse trash à mort qui chante !

(je tape sur google et voici des photos de Amy W)

_ Ouai… ben vous savez quoi les filles, moi ma préféré c’est Natalie Imbruglia (ça c’est moi).

(Je tape sur google et voilà les photos de la sublime Natalie) ».

 

Natalie mais qu’est ce que tu fais bon sang ??!! A t’attendre je vais me déssécher sur place !

 

Dans la peau d’une blonde – Episode 6 15 septembre, 2007

Posté par fdesbordes dans : dans la peau d'une blonde , 1 commentaire

lamutante.jpg LA MUTANTE… …

Dans ma quête perpétuelle pour atteindre la blonde perfection , il y a bien une chose que je n’ai pas besoin de chercher : Le sens du détail vestimentaire.

Mais quand une blonde peut disserter pendant des heures sur la hauteur idéale des talons pour faire du shopping (prononcez cho-pinge c’est plus bat), en ce qui me concerne ce serait plutôt rapport largeur du bas de jean / hauteur de l’empattement de mes baskets. ce doit être mon côté « blond mutante »…

Et oui, chacun son petit détail qui tue… Même si j’ai encore du travail pour transformer mes splendides sneackers adidas Stan-Smith, si sublimes avec leur nouveaux lacets crèmes et leur petit coup de peau de chamois qui leur redonne toute leur blancheur … ou en étais-je ? ah oui, j’hésite beaucoup à me mettre à porter des talons avec tous ces mannequins qui marchent comme des flamands rose, j’ai peur que la crevette devienne mon plat principal.
Bref, au stade chaussures y’a encore du boulot mais je remarque tout de même une nette progression dans ma quête de la blonde attitude, si nette que même F, le copain d’une copine, m’a regardé avant hier soir et d’un air surpris m’a demandé :

« - Mais ? tu t’es fait une couleur non ?

- Heu… ben non, mes cheveux sont toujours un peu auburns…

- Oh, c’est fou, j’avais jamais remarqué. J’croyais que t’étais blonde moi. »

Que voulez-vous… Je mute.

 

Il était une fois… du blabla… 12 septembre, 2007

Posté par fdesbordes dans : ecrits (quand j'ai de l'inspiration) , 1 commentaire

blabla.gifIl était une fois, une province pas si reculée que ça et appelée Blablaland.

A Blablaland tout le monde pouvait être prince et princesse, dans une cacophonie incroyable, car il suffisait simplement d’être le plus grand blablateur de Blablaland. c’était ce que les blablateurs appelaient la promotion au blabla.

Alors, comme tous les blablateurs voulaient être des princes et des princesses, les blablas allaient à tout va. Blabla de voisinage, de copinage, de laverie automatique, de couple, de tout en fin de compte puisque l’essentiel résidait dans le blabla.

Cependant quelques irréductibles in-blablateurs, éparpillés au quatre coins de Blablaland essayaient de ne pas trop faire de blabla. Mais les blablateurs ne voulaient pas entendre parler de ces in-blablateurs et irrévocablement, ces pauvres ères finissaient au banc de Blablaland. Ils ne pouvaient pas faire entendre leur voix puisqu’ils ne voulaient pas faire de blabla.

Alors, pour survivre au milieu de ce blabla ambiant, les in-blablateurs finirent par devenir avec cynisme, les rois du blabla.  Se réunissant discrètement entre in-blablateurs pour converser tranquillement et faisant du blabla tour de bras auprès des blablateurs.

Et comme vous devez vous en douter, blablabla blabla bla blablabla bla blabla bla blablablabla bla blabla bla blablablabla bla bla blablablablablabla… blabla.jpg

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