navigation

SFR m’envoie un signe. 31 octobre, 2007

Posté par fdesbordes dans : rayon humour,sea sex and sun , 3 commentaires

horoscopepoissons.gif

SFR m’a proposé de m’abonner gratuitement aux news astrologiques quotidiennes. Qu’à cela ne tienne, au point où j’en suis tous les conseils valent de l’or.

Je furète un peu et tombe sur le blabla astrologique amoureux pour la fin de l’année de C.H. Voici ce que cela donne :

 » Célibataire, une petite aventure pourrait vous changer considérablement les idées, pourvu que vous ne « chassiez » pas sur vos terres habituelles ou que vous ne choisissiez pas systématiquement quelqu’un qui n’est pas pour vous ou quelqu’un qui n’est pas interessé par vous !  »

d’accccccord… j’ai du pain sur la planche…

THE GOSSIP – la bombe riot girls 30 octobre, 2007

Posté par fdesbordes dans : Decouverte , 1 commentaire

Image de prévisualisation YouTube

Hello les bloggueurs, j’ai découvert pour vous, si vous ne connaissez pas déjà, la nouvelle bombe riot qui vient tout droit de Portland.

Alors déjà le « riot girls » késaco ?. Une tendance musicale menée tambour battant par le tigre , peaches, bikini kill, april march et bien d’autres petites nouvelles, un rock déjanté qui se caractérise le plus souvent par une affirmation allumée des « filles qui prennent le pouvoir ». Elles sont décomplexées, libérées à tous les niveaux et tout ceci pour la plus grande joie de nos petites oreilles.

Bref, vous l’aurez compris avec les « riot girls », c’est : laisse mamie faire son sorbet au citron, nous on va se jeter quelques bilouzes dans un rade bien glauque, et gaffe les gars, ou on vous allume.

Pour ce qui est de The Gossip, trio 100 % féministe formé en 2000, le groupe fait du chemin et a même atterri au nouveau casino de Paris, cet été.

Je vous laisse avec listen up, leur bombe ultra rafraîchissante, moi je vais faire ma vaisselle en musique :) .

leur myspace : http://www.myspace.com/gossipband

le site officel : http://www.gossipyouth.co.uk

dernier album : Standing In The Way Of Control

 

 

Recherche mandibule de rechange – Urgent !

Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , 10 commentaires

di1f.gif

 

La semaine dernière, n’en pouvant plus de souffrir de la mâchoire de jour comme de nuit au point de ne même plus pouvoir penser (grosses cernes, énervement) je suis allée voir mon médecin. Petite leçon de morale au passage pour avoir autant attendu et bataillon de mesures d’urgences pour trouver l’origine de mon mal étrange…

Prise de sang, radios en tout genre de la face, tomographie et blablabla… Tout ça pour finir en urgence chez un stomatologue cette après-midi.

Et là, divine surprise. Je sais enfin de quoi je souffre. J’ai bêtement flingué mon ménisque maxillaire droit, il y a un bout de temps apparement. Comment ? Cela restera un mystère. Cela ne s’opère pas, bonne nouvelle, mais la mauvaise c’est que c’est rudement long à guérir.

Maintenant, tapons nous une bonne poilade en ce qui concerne le traitement :

C’est for-mi-dable (rire jaune) ! A moi les bonnes soupes de mamie que j’ai tant détesté dans mon enfance, adieu steacks et autres douceurs bovines. Et vive le milk-shake !

Heu… Docteur… Donc en gros, les baisers langoureux avec la langue c’est à proscrire ?

 

La fille aux Skates 28 octobre, 2007

Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , 3 commentaires

La fille aux skates aime la glisse, la bass et la new wave. Une fois, elle a dit qu’elle m’aimait. On était presque en été et j’ai falli pleurer. Ca c’était avant. Avant quand on se voyait. Car un jour on s’est quittées. 

Alors ce soir, pour la fille aux skates une spéciale dédicace.

Image de prévisualisation YouTube

 

Après l’homme sandwich, la femme poulet ! 25 octobre, 2007

Posté par fdesbordes dans : Decouverte,humeurs et deshumeurs existencielles , 5 commentaires

imaindex4.gif 

Cette semaine deux faits marquants :

- J’ai vu de mes propres yeux une femme poulet (en fait le vernissage d’une expo organisée par une copine sur les tribulations d’une femme poulet). L’artiste s’appelle Anne Zimmermann et elle a eu l’idée particulièrement créative de tanner des peaux de poulets pour s’en faire un costume…

le site de l’artiste d’où vient la photo : http://perso.orange.fr/anne.zimmermann/

- Enfin ce soir de viens de m’enfumer les neurones dans un lieu de perdition pour dames (oui, vous allez penser que je m’encanaille, mais pas du tout c’est pour les affaires) et à cette occasion j’ai pu découvrir une troupe de théâtre composé de 7 coquines jeunes filles, les « clandestines », qui firent un spectacle absolument déjanté et se…….. .

le myspace de ces gazelles : www.myspace.com/lacompagnieclandestine

Ce soir je révise ma copie, et ce, en dépit de l’absence de mââââles : j’aime bien les brunes (et les mirabelles), les chataînes (et les marrons, particulièrement avec la dinde de Noël), les rousses (mais pas les carottes, surtout cuites), les blondes mais pas les femmes poulet !

 

Boris Bergmann, file dans ta chambre 24 octobre, 2007

Posté par fdesbordes dans : Livres , 7 commentaires

430770m15215.jpg borisnbrc.jpg

Amis bloggueurs du jour bonjour,

Comment ça ??!! Vous ne connaissez pas Boris Bergmann, « le plus jeune auteur de la rentrée littéraire » dixit l’éditeur ? C’est peut-être que vous revenez d’un long voyage de la planète Mars ou que vous êtes rescapé de la série Lost…

Boris Bergmann est le petit loulou qui se revendique comme la réincarnation de l’esprit rock (heu… le rock feutré à la française alors…). Vous le voyez souvent traîner ses guêtres sur les plateaux télés, en une de Technikart avec sa couv’ « fuck les trentenaires! » pour faire la promo de son bouquin « viens là que je te tue ma belle » (en lice pour le prix de Flore ??!!).

Ca y est, vous le remettez ?

Alors que se cache t-il derrière cette nouvelle icône de la culture bien pensante ?

Un goût amer de tendance marketée.

La cible : bobos, urbains, trentenaires, quinquas raplaplas, citadins bon teints et tous les amoureux de Barbey d’Aurevilly, Yves Adrien etc etc…

Car le petit Boris, on l’avait déjà repéré à plusieurs reprises dans des documentaires sur le phénomène des bébés rockeurs ( allez lire l’article du times, c’est à mourir de rire), qui soit dit en passant semble moribond. A cette époque, l’indécrottable Philippe Maneuvre s’extasiait devant ces clones boutonneux et proprets des Sex pistols, se jeter sur un public dont la moyenne d’âge ne dépassait pas 16 ans. Ils s’appropriaient le style punk (en plus aseptisé) en propulsant au passage quelques marques (Cheap monday, april 77) qui firent du jean slim, la référence de l’année 2006/2007.

Boris Bergmann se fait un nom, sur les cadavres encore fumants des groupes Naast, Plasticines et autres noms en « sssss ». Il pose presque en tweed, foulard au cou (y’a plus qu’à se teindre les cheveux et il resemblera à Andy Warhorl) et hurle partout que le rock a changé sa vie. Sauf, que je ne vois pas de contestation profonde, de réflexion sociale, juste une série d’anecdotes sur sa vie parisienne, ses délires, ses soirées et pffff… est-ce que laFrance, hormis le Paris parisianniste, va s’y intérésser ?

En tout cas, je lui tire mon chapeau, ce petit a tout compris, en bon rejeton de la société de consommation.

Spéciale dédicace à F. 22 octobre, 2007

Posté par fdesbordes dans : dans la peau d'une blonde , 3 commentaires

Je lui ai promis de raconter ici-même une de ses blagues de blondes alors :

« qu’est ce que fait une blonde qui a l’oreille collée au mur d’une maison ?

Une blonde qui écoute de la house bien sûr ! »

 

Ta mère en short au prisunic

Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , 3 commentaires

tombraider.jpg

Ce matin, j’étais tellement énervée que j’ai remonté mon rameur de la cave histoire de me défouler. En vain. Après une demi-heure à ramer dans le vide comme une forcenée, j’étais à deux doigts de manger mon instrument de torture.

Je suffocais de rage. Mon chien, plutôt habitué à mes éclats solitaires, s’était recroquevillé dans son fauteuil.

Alors évidemment, vous vous demandez certainement ce qui a provoqué mon ire. Un simple et joli secret bien gardé et indétectable que j’ai failli pourtant révéler à plusieurs reprises ce week-end. J’en aurais bouffer ma langue.  Donner de la constance à ses silences, ne pas laisser trahir une once de ce coup de coeur, être irréprochable en tout point… Difficile de se contenir quand on ne pense qu’à décrocher la lune, faire chanter les marsouins, danser au bal des sirènes, donner un concert privé sur Mars, mais surtout… garder les pieds sur terre.

Donc aujourd’hui, une seule envie, envoyer une bordée d’injures bien sentie pour décompresser. Mais histoire de ne pas choquer les âmes sensibles, un sobre « ta mère en short au prisunic » suffira…

 

 

On échappe pas à son image 18 octobre, 2007

Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , 4 commentaires

masqueretp.jpg

Pas évident de rester soi-même quand des lecteurs se plongent dans vos écrits. Les lecteurs se forgent une image de ce que vous êtes, de qui vous êtes.

Quoi que l’on dise, on se fait toujours une idée d’après les écrits. Surtout quand ce que vous écrivez sort tout droit de vos observation sur le terrain, des écrits réalistes, ancrés dans la vraie vie avec des héros et des héroïnes qui pourraient vous ressembler, vous lecteur/lectrice.

Je n’ai pas échappé à la règle. Mais je ne l’ai pas cherché. Je l’ai même très mal vécu pendant des mois. Quand « Mess@ges perso » est sorti, je me suis pris mes écrits dans la g****. Vous écrivez LSD, poppers, boîte de nuit, séduction, et les lecteurs s’imaginent que vous passer votre vie dans un monde interlope, vous décrivrez au fil des pages une femme jadis aimée et tout le monde cherche à savoir qui c’est. Et tant pis si cette femme n’existe que dans mon imaginaire ou si c’est un copié-collé de n’importe qui. On vous dit :

« _ Mais Puma c’est moi ! »

Et on n’en démord pas. Et tant pis si Puma est la femme que vous rêveriez d’être, personne ne vous croira.

Bien sûr, cela ne concerne que les lecteurs/lectrices qui vous connaissent dans la vie, ou qui vous on serré la main, une fois de loin en loin.

Et puis il y les autres, un peu vachards, qui s’imaginent que vous voulez le nouveau prix fémina, à serrer des mains dans des coktails plus ou moins mondains, parce que ça le fait bien. On vous balance que vous voulez de la reconnaissance, alors que jusqu’à présent l’écriture vous a plutôt desservi dans vos relations. Vous ne répondez pas, bêtement.

Et puis on vous dit séchement que si ça vous dérange qu’on parle de vous, et ben, y’a qu’à arrêter d’écrire. En effet, tout serait tellement plus simple.

Aujourd’hui, je m’en fous. Qu’on me colle une étiquette, qu’on me cloue au pilori, qu’on aime ou qu’on me prenne pour une bad-girls parce que je décris des trentenaires libérés et en plein doute, tout ça ce n’est que du vent.

Comme l’a si bien dit Mademoiselle : « j’ai connu deux Fred : Fred Desbordes et Fred tout court ».
Aujourd’hui j’ai fait la paix avec mon image. Vous trouvez ce que je viens de raconter hallucinant ? moi aussi pour tout vous dire…

Frag #17 17 octobre, 2007

Posté par fdesbordes dans : ecrits (quand j'ai de l'inspiration) , 2 commentaires

C’est la fin de son monde. Du haut de sa tour, autrefois d’un ivoire immaculé, le contrôleur  fatigué fixe son écran d’ordinateur. Le kérosaime a disparu, les avions ne volent plus.

Bienvenue dans l’aéroport du désert, l’enfer pour tous ceux qui ont souffert. Tous ces ères qui veulent se souvenir de ce jour où ils étaient vivants, de ces instants où les sourires se décrochaient heureux et confiants.

Bienvenue dans l’empire des morts-vivants. Des clandestins de la vie, happés par la monotonie et le rythme incertain des lendemains.

Des passagers en attente, bagages et à la main et journal de tous les matins.  Zone d’embarquement zéro comme quand on repart de rien mais le coeur plus tout à fait enfantin.

la lune sombre a emporté son ombre. Ce soir la seule lueur vient du tiroir, d’un téléphone usé, oublié là par le contrôleur. mais qui peut bien l’appeler ? En bas, partout ailleurs, un frémissement s’installe. le vrombissement des moteurs d’âme renacle, tousse et repart. Les passagers se réveillent de leur long cauchemar. Embarquement immédiat pour l’espoir.

Le soleil se lève et le contrôleur regarde, médusé, l’écho-radar s’agiter. Son téléphone ne sonne plus. Message en attente, lettres mortes en poste restante,  le contrôleur contrôle son inexistence.

123

Kikoo |
LES NOUVELLES DU FRONT PAR ... |
TEL QUE JE SUIS |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | mon journal intime
| Ces gens sans importance
| parle avec elle